Tu l’as peut-être croisée entre deux enceintes qui crient ou sur le dos d’un pote cramé mais stylé : Rapta Sapar débarque pour te sapper comme jamais, avec du textile qui sent la crasse, la fête, et l’irrespect des lendemains.
Une marque née d’un chaos maîtrisé
Rapta Sapar, c’est le cri textile d’un collectif de raveurs qui ont troqué leurs platines contre des imprimantes. Après une nuit blanche dans un champ breton, l’idée est tombée comme une cuite mal gérée : “Et si on faisait des fringues à l’image de nos soirées ? Libres, sales, fun, et foutrement vraies.”
Des slogans qui tabassent plus qu’un kick à 140 BPM
Ici, pas de filtres. Juste des punchlines.
Chaque T-shirt est un hymne à la déglingue joyeuse, du genre :
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“THIS IS FINE – édition after”
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“Le Penseur sous acide”
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“La Joconde de l’After”
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“Dieu de la cuite – édition 8.6”
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“BREAKING RAVE”
On parle à ceux qui vivent la nuit comme un manifeste. Les héros du K-Way fluo, les soldats du BPM, ceux qui savent que la rave, c’est la dernière religion.
La collec’ de juin 2025 : 100% after, 0% sobre
Disponible dès juin, la première collection Rapta Sapar claque fort : une vingtaine de pièces – T-shirts, sweats, casquettes, accessoires – pensées pour briller dans les strobes et survivre aux festivals.
Le tout en coton bio (parce qu’on n’est pas des bêtes non plus).
Nos valeurs ? Aucune morale. Que du style.
Rapta Sapar, c’est un doigt d’honneur à la mode lisse, une ode textile à l’autodérision, l’ivresse et la liberté.
On ne vend pas que des fringues, on vend un état d’esprit : être décalé, sans excuse.
Prêt à t’habiller comme si demain n’existait pas ?
Alors rejoins le mouvement. Fous-toi des dress codes. Fais-toi voir en Rapta Sapar.
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